Que vous veniez pour grimper, marcher ou skier, le refuge du Ruitor est résolument un coin à découvrir.Déjà pour commencer, ainsi vous serez tout de suite rassurés : le refuge est top. Il est non-gardé mais très bien équipé (du bois pour le feu, de la vaisselle, des petits mots du gardien un peu partout, qui vous invite même à laisser vos bouteilles - hips !)

Nous venions pour grimper, et pour la grimpe c’est bien aussi. Juste - sauf pour Xavier - prévoir un peu plus qu’un T-shirt en coton : on est haut, le vent caresse les glaciers alentours avant de nous rencontrer : ça caille !

Pour finir de vous convaincre, je vous laisse découvrir quelques photos...

J1

Après la montée jusqu’au refuge (au pas de course ?), une équipe part pour la Pointe des Piagnes

Plan du Grand En direction de la Pointe des Piagnes

Pointe des Piagnes Patrick à l’attaque

Les frileux font demi-tour, direction le col du Tachuy A défaut de grimper, on promène le matos

Pendant ce temps, moins haut moins froid ?

Barre des Colombettes

Le rappel de la barre des Colombettes

Rémi et les filles

La première journée touche à sa fin. Une énorme gamelle de pâtes nous accompagne jusqu’à l’extinction des feux.Levé tardif apprécié pour tous :-)

J2

Une cordée part aux Piagnes avec les infos collectées la veille, le reste de la meute va encombrer la voie Emprin aux Oeillasses.

Les Oeillasses Objectif du Dimanche pour nombre d’entre nous

Florence dans Les Doigts en Éventail

La cordée des Drôles de Dames à l’attaque du petit pas physique de la voie Emprin

Une petite note sur la grimpe : c’est équipé montagne, mais le terrain est particulièrement propice à la pose de coinceurs, c’est même un terrain de choix pour commencer.

Pour résumer : allez-y !