Dès le départ à Celliers-Dessus, il était évident que  les huit inscrits avec Alain ne seraient pas seuls ; un grand groupe de jeunes militaires de Chambéry avait également opté pour le secteur, ainsi qu'une équipe de 13 randonneurs du CAF d'Albertville, entre autres.



Heureusement, il y a de la place pour tous et nous voilà cheminant le long du Bridan.



Question du jour : Est-ce qu'on verra Montmélian depuis les Portes ?



Les rythmes étant quelque peu différents, on procède au regroupement à chaque pause et on en profite pour adapter la tenue aux changements de température, boire ou grignoter...



On n'oublie pas d'observer alentour les différents itinéraires pour de futures randonnées comme le tour du Tchatcho, qui nous avait été confisqué par le brouillard lors d'une sortie antérieure.



Les chemins des uns ou des autres se croisent ou divergent selon la destination finale.



Le fond de vallée s'éloigne tandis que les sommets se précisent, les autres occupants du site ne sont plus que de petits points.



Et les Portes s'ouvrent enfin au peloton de tête vers 12h30.
Grand courant d'air :  un méchant bisolet nous force à nous dépêcher de dépeauter ; les premiers prêts préfèrent redescendre un peu sans attendre ; une enrhumée n'a pas envie d'aggraver son cas.
Et dans l'inconfort de la situation, on a oublié de vérifier si la vue donnait sur Montmélian !?



Pour la poudreuse et les espaces vierges, il faudra repasser. 



Mais voilà lun lieu sympa où il fait bon sortir le casse-croûte. Dépit et joyeuse moquerie en s'apercevant que le café de Cat est ....réduit à l'eau chaude tandis que le chocolat promis par moi-même est...resté à la maison !
On se consolera avec les papillotes de Geneviève au pot final.



Ragaillardis, il ne nous reste plus qu'à continuer à rajouter nos traces de descente plus ou moins divagantes à l'entrelacs déjà existant sur le manteau neigeux.



Skieurs, skieuses ou sapins ?



L'apparente facilité des uns n'empêche pas les autres, dont je fais partie, de se concentrer avec moins d'élégance à perdre de l'altitude sans perdre l'équilibre sur une neige pas si évidente à skier !

Efficacité pour tous, le point de départ est rallié sans soucis dans la satisfaction générale avec 14 km au compteur pour une ascension de 1098 m.
Il reste pourtant une question du jour sans réponse (voir plus haut)..à moins qu' un lecteur ou une lectrice avisé(e) sache nous éclairer.