Idée voyage : Randonnée à travers les Highlands !

Le 18.03.2014, par NicolasH, 4 commentaires


 

8 jours de randonnée à travers les hautes terres écossaises entre Achnasheen et Fort William. D'après les livres, les Highlands ont forgé des lignées de valeureux guerriers et c'est avec nos bâtons de marche en lieu et place de fusils que nous partons des rêves plein la tête. Et du courage, il va nous en falloir...

https://www.google.fr/maps/ms?msid=202691898360423461751.0004dce96b1aa040a62f5&msa=0

En route pour les Hignlands

Se rendre dans les Highlands n’est pas de tout repos. Après un train, le RER, 2 avions, (une nuit à l’hôtel) et à nouveau 2 trains… !!! Il est 12h30 (heure locale) le lundi 29 avril et nous voici enfin arrivé à Achnasheen, minuscule gare au nord-ouest de Inverness. L’objectif est simple depuis Achnasheen, c’est plein Sud, direction Fort William.

Cette matinée de train entre Glasgow et Achnasheen nous a permis de découvrir progressivement les paysages qui vont rythmer notre semaine. En parlant de rythme le climat n’est pas non plus sans talent… En effet, c’est au rythme des 4 saisons que nous avons rejoint notre point de départ… Nous profitons du dernier abri que nous offre le cabanon de la gare pour prendre notre repas de midi agrémenté de quelques pains subtilement « empruntés » à l’hôtel grâce au savoir-faire sans faille de Rudi…

Dès les premiers pas, le soleil Ecossais (oui la pluie…) se joint à nous. Nous découvrons rapidement que les chemins, même si ils sont matérialisés sur la carte, sont en réalité très peu visibles sur le terrain. De toute façon, nous nous étions préparés à ça. Nous découvrons également que l’eau est la maitresse des lieux. A chaque pas nos pieds s’enfoncent jusqu’à la cheville et il faut jouer avec les touffes d’herbes émergées pour limiter la baignade. On comprend rapidement pourquoi les midges pullulent en plein été, on marche sur une éponge géante !!

Nous prenons donc la direction du Loch Beannacharain premier point de passage significatif de notre journée. Malgré la pluie et le vent qui nous accompagnent depuis le départ nous prenons plaisir à marcher au milieu de ces grands espaces. Rapidement les souvenirs des précédentes aventures refont surface et c’est sur quelques délires que nous arrivons sur les rives du lac. Nous avions envisagé de passer par un col pour couper quelque peu le chemin, mais en cette fin avril la neige et encore très présente à partir de 700 m. Et compte-tenu du vent soutenu nous optons pour la solution la plus sage qui est de contourner la montagne.

Nous manquons de peu de devoir traverser à gué notre première rivière au niveau de Inverchoran mais grâce à « l’amabilité exemplaire » du propriétaire de la ferme, l’autorisation de traversée sa propriété nous ai donné après 10 min à chercher un passage non dangereux pour passer le torrent.
Nous remontons ensuite le fond de vallée en quête d’un endroit où planter notre tente. Et contrairement à ce que nous pensions la tâche est beaucoup plus dure que prévue… L’eau est présente partout et le terrain est loin d’être plat. C’est une alternance de grosses touffes d’herbes et de cailloux qui nous est proposé. On mettra une bonne demi-heure avant de trouver un emplacement à peu près convenable au bord de la rivière. Nous avons juste le temps de monter la tente sous de grosse rafale avant que la pluie et la grêle ne fassent leur apparition. Au menu se sera donc pâtes crues et 2 barres de chocolat pour le moral !!! On s’endort bien fatigué de cette première journée qui se conclura par une nuit glaciale.

 

Le (trop rare) soleil Ecossais

Après le froid de la nuit une surprise nous attend au réveil… Il fait beau !!!!!!! Attention pas chaud, mais beau !!! Ici bizarrement le soleil ne chauffe pas vraiment… Il est là et c’est déjà bien. Il ne faut pas être trop exigeant.
Le petit-déjeuner est vite avalé et nous prenons rapidement la direction de notre premier col « sans nom ». Qui dit pas de nom dit pas de chemin pour y aller mais nous nous en sortons plutôt bien d’autant que les cartes Ecossaises n’ont rien à envier à nos cartes IGN.

Un superbe paysage nous attend arrivé au col, des grands espaces à perte de vue et la neige qui vient sublimer les sommets alentours. On contemple le paysage bercé par le vent et illuminé par le loch na Caoidhe (il est beaucoup plus beau que le nom…).

Nous profitons du soleil sur les rives du lac pour faire quelques photos ne sachant pas si celui va rester en notre compagnie très longtemps… C’est grisant de marcher seul en dehors de tout sentier. On trace notre propre route, rien ne nous dirige nous sommes libres de marcher où bon nous semble. La « légère » contrepartie c’est qu’on évolue quand même beaucoup moins vite au milieu des marécages, de la boue et des micro dénivelés dessinés par le terrain… Mais ce n’est que du détail.
Nous rejoignons le Loch Monar pour midi où l’on se met à l’abri du vent qui ne s’est pas arrêté depuis notre départ. Malheureusement, le temps commence à se couvrir un peu et au loin nous apercevons déjà la pluie qui arrive. On repart pour une après-midi qui s’annonce intéressante… En effet nous avons prévu de passer un col qui se trouve encore sûrement recouvert de neige.

Nos suppositions se confirment ; au loin la neige est encore bien présente sur le Sgurr na Lapaich. Malgré tout le soleil refait son apparition et nous redonne du courage. Toujours pas de sentiers à l’horizon, on attaque donc de front !! L’ascension est longue et le final se déroule sur 40 cm de neige. Bien que les altitudes ne soient pas très importantes au regard des Alpes, l’ambiance haute-montagne est au rendez-vous.

La fatigue commence à se faire vraiment sentir et la descente ne fait que commencer. Après 2h on arrive à proximité d’une ruine où l’on tente tant bien que mal de se protéger du vent. Nous arrivons à nous concocter un vrai repas chaud ! Ce soir, c’est grand luxe !

 

De l'eau, de la glace et de la neige.

La nuit fut « sportive »: le vent n’a pas faibli mais nous a fait l’offrande de changer régulièrement de côté histoire que l’orientation « optimisée » de la veille, ne serve strictement à rien… Nous avons également découvert que nos tentes ont la capacité de rétrécir toute seule en plein milieu de la nuit !! De tente 2 places nous sommes passés à une tente 0,5 places … Quel vent !

Un petit déjeuner express et nous repartons toujours sous un vent soutenu qui s’est lié d’amitié avec la pluie. L’objectif de la matinée est de franchir un nouveau col inconnu qui risque à nouveau de se retrouver sous la neige.
Durant quelques kilomètres nous prenons la route qui mène au Loch Sealbranach. Puis direction plein Sud où nous remontons le long d’une gorge en longeant une des nombreuses clôtures qui parsème les Highlands. L’ascension est éprouvante, la pluie ne s’arrête pas et l’absence de chemin nous oblige à patauger dans la boue jusqu’aux chevilles, la pente est très raide, nous avons l’impression de monter un escalier collant avec des marches toutes plus inégales les unes que les autres.


Compte-tenu des conditions aquatiques que nous avions difficilement évalués avant de partir, nous remercions en chantant nos chaussettes étanches. (Pour être franc les chaussettes étanches limitent juste l’effet « baignade » dans les chaussures mais ça n’est pas non plus la folie).

 

 

Une fois sortis de la gorge, c’est à la boussole que nous nous orientons sur un grand plateau que nous venons de rejoindre. Nous poursuivons notre route en dents de scie, effectuant des micro dénivelés à quasiment chaque pas, nos pieds s’enfonçant dans le terrain très gras, boueux… spongieux. Effort épuisant qui a eu pour effet bénéfique de muscler notre cœur et de réchauffer notre température intérieure : deux éléments non négligeables lorsque la pluie et le vent froid se sont liés d’amitié pour vous en faire baver, et lorsqu’il vous reste encore un long parcours.

 

Au loin la prochaine averse s’annonce déjà et c’est sous la grêle que nous redescendons en direction du Loch Beinn a’Mheadhoin où nous prenons une pause bien méritée. Nous longeons la route pendant un bon moment avant de rejoindre une aire de pique-nique où quelques touristes se sont arrêtés pour midi. Nous faisons de même et le soleil vient même assaisonnée notre repas.

L’après midi se déroule paisiblement sous un ciel de plus en plus bleu qui nous porte jusqu’à la rivière Allt Rjaphach où nous cherchons un endroit ou passer la nuit. Nous discutons tranquillement de la fraicheur certaine de la rivière quand soudain Rudi décide d’aller se baigner tout habillé et bien évidemment sac sur le dos… sûrement parce qu’il jugeait la chaleur trop importante… Résultat de l’activité baignade de Rudi: Une soirée en caleçon par 5 degrés … C’est vrai qu’il faut être connaisseur… Mais Rudi fait partie de ces hommes qui aiment les expériences « marquantes » qui plus est si elles sont « vivifiantes…;-) Malgré le petit intermède aquatique de Rudi cette soirée restera comme le plus beau bivouac du trek.

 

Toujours plus au Sud

 

La nuit a été glaciale et une petite surprise nous attends. Les chaussures sont couvertes de glaces !! Impossible de serrer les lacets !! Depuis que nous sommes partis, elles ne passent pas 5 min sans être immergées dans l’eau. L’ambiance est beaucoup trop humide pour qu’elles arrivent à sécher… du coup la glace n’a pas eu de mal à se faire une petite place. L’expérience de mettre le pied dans la glace au petit matin est assez « spéciale ».

Ce jour de la semaine fera office d’introduction à la fameuse douche écossaise. Le beau temps de la veille nous a quitté et c’est sous un ciel gris que nous partons vers une journée qui risque d’être monotone. Une grosse partie de l’étape du jour est prévue le long de la route A 87. C’est la solution la plus directe si on veut pouvoir arriver à Fort William samedi avant midi.
On débute par une montée physique sur des terres lourdement crevassées qui n’offrent pas la possibilité d’avancer normalement.

Nous ne nous sommes pas trompés, la journée est passionnante à mourir… Après quelques heures à marcher le long de la route sous la pluie, nous nous arrêtons pour manger à l’abri d’un sapin qui ne nous abrite pas du tout… Après 30 min le froid nous a déjà regagné et la seule chaleur disponible, c’est la marche qui nous l’offre. Nous reprenons donc naturellement la direction de la route.

L’après-midi est encore plus compliquée. Après avoir un peu cherché notre chemin au milieu d’une forêt partiellement dévastée par les bucherons, nous commençons à nous poser quelques questions sur le dernier col à passer. En effet la pluie n’a toujours pas cessé, nous venons de franchir le Loch Garry et le col qui s’annonce est encore loin et sous d’épais nuages. La journée est déjà bien avancée, nous décidons donc de nous arrêter à proximité de Greenfield où un pré pas trop détrempé nous attend. Notre amie la pluie ayant décidé de s’inviter au diner, la cuisson du repas fût assez simple et très écologique… 0g de CO2 rejeté… 100 g de pâtes chinoises crues agrémentées de raisins secs, d’une touche d’amande, d’un soupçon de noisette et comme dessert d’un velouté de tablette de chocolat !!! Paul BOCUSE n’a qu’à bien se tenir !

Et pendant ce temps la pluie tombe, tombe encore, tombera toute la nuit. Et continuera à tomber ainsi jusqu’au… vendredi soir…

Une très longue journée...

 

S’il y a un bien un jour de notre voyage en Ecosse qui restera en mémoire, ce sera celui-là. Non, pas grâce aux paysages sublimes que nous aurions pu voir, ni pour la douceur d’un climat chaud et enveloppant qu’il nous aurait été possible de rencontrer. Mais bien pour le caractère particulièrement éprouvant de cette journée.
Nous partons sous la pluie, dès le matin, et nous nous apercevons que les nuages n’ont pas bougé du sommet. Tant pis, nous nous engageons dans la forêt, nous traversons bois, rivières et chemins, pour finalement arriver au pied de la montagne. Mais, vu le temps et l’épais morceau de brouillard qui recouvre le sommet, nous décidons de réviser notre parcours et d’en faire le tour plutôt que de le gravir (ce qui nous vaut de nous perdre une ou deux fois – ou de jouer avec la boussole, préfère dire Nicolas ;-).
C’est à cet instant que notre journée prend tout son sens. Un seul sens d’ailleurs. Unique. Sans détour. Ce sera tout droit. Une longue et interminable route. Tracée à la règle sur la carte. Merveilleusement rectiligne. Assez pour ne pas en voir la fin.

Agrémenté de relent de pots d’échappements et de klaxons de poids lourds. Le côté positif c’est qu’il n’y a pas besoin de jouer avec la boussole quand c’est tout droit. Et c’est bien la seule raison qui nous pousse à nous engager sur cette voie. Nous nous arrêtons un court instant, une pause d’un quart d’heure, avec pour seul abri un arbre défraîchi. Il est midi. A défaut du soleil, en Ecosse, c’est la pluie qui est au Zénith.
Il pleut encore, il pleut toujours, et nous repartons, pour rejoindre finalement le Caledonian Canal. Nous le remontons et nous nous engageons alors dans une marche épuisante le long du Loch Lochi (et vous pouvez croire que, plus que le Loch Ness, c’est ce lac là qui pour nous restera célèbre).
Le long du chemin nous rencontrons des anglais, l’un d’eux nous lance :
– Vous aller où comme ça ?
– A Fort William.
Il fait une tête qui marque son étonnement :
– Vous voulez y être ce soir ?
– Oui, disons-nous.
– … Ok… bonne chance… c’est tout droit, croit-il bon d’ajouter.

 

Alors nous repartons, et nous marchons. Un long moment, sous la pluie, et le Loch Lochi n’en finit pas, il semble interminable. Nous avançons à un rythme effréné, et à chaque fois que nous passons un virage nous espérons en voir le bout. Mais nous sommes un bon moment déçu avant que ça ne se produise enfin. Nous avons fait une quarantaine de kilomètres dans la journée, nous sommes éreintés, et Fort William est encore loin. Nous décidons de nous diriger vers un camping, en espérant que ce dernier, bien que visible sur la carte, n’est pas disparu de la réalité.

On dit souvent qu’il y a un Dieu quelque part. Eh bien, il faut croire que ce jeudi il devait se trouver dans un bar d’Ecosse à boire un ou deux whiskys, et qu’il devait être encore assez sobre pour prêter attention à nos prières, car non seulement il y avait bien un camping, mais en plus il était ouvert. Habits, tentes, sacs de couchage, l’ensemble du contenu de nos sacs est trempé, mais nous retrouvons le sourire après une bonne douche chaude et un bon repas.

Fort William

 

Courte journée de marche ce samedi. Nous rejoignons paisiblement Fort William en marchant le long du Caledonian canal. Il fait beau, le cœur se réchauffe, malgré de nombreuses courbatures et autres douleurs dans les genoux et les pieds. Nous arrivons finalement au pied du Ben Nevis, enrobé de nuages à son tour. Nous avions envisagé, au départ, de faire l’ascension comme un symbole de la fin de notre traversée, mais la dure et longue journée de la veille et la neige abondante nous dissuade de fouler son échine.

Nous ne restons pas longtemps, la pluie a fait son retour, nous courrons nous réfugier dans la gare et aussitôt le billet acheté nous repartons direction Glasgow où bien au chaud , cette fois ci, nous contemplons depuis notre wagon les paysages torturés des Highlands.
Nous prenons quelques heures pour visiter Glasgow et boire symboliquement un verre de Whisky dans un des nombreux pubs de la ville. Puis c’est la direction de l’hôtel que nous prenons où nous nous reposons de cette semaine sur les Hautes Terres.
Le lendemain, nous repartons pour la France, le cœur encore trempé de pluie d’Ecosse, et l’esprit encore marqué par cette belle et dure leçon qu’elle nous a donné.

 


 

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