Voilà une bonne reprise d'activité : 2 jours en montagne avec
2 courses d'arêtes rocheuses, 1 bivouac, des hordes de marmottes, deux camions de militaires, un chamois et deux lagopèdes.
2 courses d'arêtes rocheuses, 1 bivouac, des hordes de marmottes, deux camions de militaires, un chamois et deux lagopèdes.
Au programme : du rocher facile mais pour expérimentés car l'ambiance prévue n'était pas à la formation.
Par contre, c'était l'occasion d'accorder les violons de techniques de progression et de remettre en place les neurones afin de retrouver les réflexes estompés par le confinement. Mon 1er 1/4h de démarrage en a montré l'utilité... Heureusement que je demande aux participants d'être attentifs aussi à ce que fait l'encadrant.
1er jour : l'Aiguille Noire
Courte arête S qui offre un plaisir simple plein de beaux moments dans le 3c.
Respect de la distanciation sociale pour se congratuler au sommet...
2è jour : destination le Grand Galibier.
Pour diverses raisons, nous décidons de parcourir uniquement l'arête N proposée sur le topo comme variante d'accès à l'arête NE.
Au pied du Grand Galibier : l'arête N. Au centre le couloir de la Clapière, bien connu des skieurs de rando qui aiment le raide. A gauche du couloir, le sommet E ; à droite le sommet W.
C'est un parcours laissé à l'initiative de la cordée car le topo ne donne aucun détail : exercice très intéressant pour travailler le sens de l'itinéraire, le choix de son dièdre, de sa fissure, de contournement de gendarme. Le rocher est globalement bon à condition de ne pas attaquer le gendarme sur lequel bute le tracé sur la photo (nous sommes allés voir... c'est pourri !).
Et sur les parcours nous avons fait quelques belles rencontres florales :
Crédit photos : Marie-San N, Philippe L.
